Comment rédiger un rapport de stage ? de A à Z

Comment écrire un bon
rapport de stage ?
Pour votre stage de découverte de l’entreprise en 3e, pour votre stage de
bac pro, vous devez écrire un rapport de stage. Vous ne savez pas par
où commencer ? Pas de panique !
Vous ne comprenez pas les consignes de vos professeurs ? Elles ne vous semblent pas claires ? Écrire un texte pour rendre compte de votre expérience vous paraît compliqué ? Vous n’avez jamais fait cela ?
Quelques règles simples devraient facilement vous sortir d’affaire :
- une bonne préparation,
- une prise de notes régulière,
- un plan simple : présentation de l’entreprise, description de vos missions et bilan,
- une rédaction et une présentation soignées.
1 Pendant mon stage
Que dois-je faire pour que ce soit plus facile après ?
Pour que la rédaction de votre rapport de stage soit plus facile, le mieux est de commencer à y
réfléchir pendant votre stage.
Prendre des notes régulièrement vous aidera beaucoup lors de la phase de rédaction. Si votre
établissement scolaire ne vous a pas remis de document spécial du type « cahier de stage », prenez
un petit cahier ou un carnet que vous pourrez transporter facilement et toujours avoir à portée de
main. Ce sera votre « journal de bord » !
Vous pourrez y noter chaque jour vos activités, mais aussi vos impressions et toutes les informations
qui vous sembleront utiles sur l’entreprise et son fonctionnement tout au long de votre stage.
Pendant votre stage, étudiez l’organisation de l’entreprise et faites son organigramme (schéma qui
représente l’organisation du personnel). Il vous sera plus facile de comprendre qui fait quoi et qui
dirige qui. N’hésitez pas à poser des questions autour de vous sur tous les points qui ne vous
semblent pas clairs.
Pensez à récupérer tout document qui pourrait être utile pour expliquer et illustrer ce que fait
l’entreprise et quelle expérience vous y avez vécue pendant votre stage.
Vous pouvez également prendre des photos pour illustrer votre rapport de stage. Vous photographiez
votre lieu de travail, les différents services, vos collègues, les clients, des tâches et actions
particulières… Attention, n’oubliez pas de demander l’autorisation à votre tuteur de stage et aux
personnes que vous voulez photographier avant de le faire ! C’est obligatoire !
Après le stage : je fais le bilan de mon expérience et je réfléchis au plan de mon rapport
Avant de quitter l’entreprise, faites le bilan de votre stage avec votre tuteur.
Installez-vous au calme et relisez vos notes. Relisez aussi tous les documents que vous avez
rassemblés quand vous étiez dans l’entreprise. Faites également le point sur les consignes que vous
a donné votre professeur.
Posez-vous des questions :
- Qu’avez-vous fait dans l’entreprise pendant votre stage ?
- Qu’avez-vous appris pendant votre stage ?
- Qu’est-ce qui vous a surpris, agréablement ou désagréablement ?
- Est-ce que votre stage s’est déroulé comme vous l’attendiez ?
- Quels outils maîtrisez-vous mieux qu’au début de votre stage et quels sont ceux dont vous avez
appris à vous servir ?
- Souhaiteriez-vous travailler dans ce genre d’entreprise ?
- Ce stage vous a-t-il apporté une orientation professionnelle plus précise ? A-t-il confirmé vos choix ?
A-t-il fait naître en vous de nouvelles idées et envies pour l’avenir ?
Puis commencez à réfléchir au plan de votre rapport. Il doit être le plus simple et le plus clair possible.
2 Rédaction du rapport de stage
Comment présenter mon rapport de stage ?
Concentrez-vous sur une présentation simple, claire et aérée pour une lecture plus facile. Faites des
phrases courtes et compréhensibles. N’oubliez pas de bien vérifier votre orthographe et de vous faire
relire.
Pour une belle présentation, le mieux est de glisser les feuilles de votre rapport dans des pochettes
plastiques reliées, d’utiliser un cahier-classeur, ou encore de faire relier votre travail dans un centre de
copies ou une papeterie.
S’il s’agit du rapport de votre stage de découverte de 3e : vous avez sans doute un livret à remplir ;
sinon, votre rapport ne devrait pas dépasser une dizaine de pages.
S’il s’agit d’un rapport de stage de bac pro, suivez les consignes de votre professeur et n’hésitez pas à
lui demander conseil avant de vous lancer !
Dans tous les cas, n’attendez pas la dernière minute !
Que doit contenir mon rapport de stage ?
Vous devez évidement suivre les consignes que vous ont données vos professeurs sur la présentation
et le contenu de votre rapport. Si vous n’avez pas de « cahier de stage » ou de document à remplir
remis par vos professeurs, aidez-vous des conseils qui suivent.
Que dois-je noter sur la première page de mon rapport ?
C’est la couverture de votre rapport de stage qui donnera la première impression au lecteur de
votre travail. Attention à en soigner la présentation.
Doivent apparaître :
- votre nom et votre prénom
- votre classe et l’année scolaire
- le titre de votre rapport
- les dates de votre période de stage
- le nom de l’entreprise
- le nom de votre collège ou de votre lycée
- le nom de votre maître de stage et l’intitulé de son poste
Que dois-je ensuite noter dans mon rapport ?
Après la première page vient le sommaire (ou table des matières). C’est le plan de votre rapport. Il
renvoie aux grandes parties de votre rapport. Vous devez choisir avec soin les mots des différents
titres pour qu’on comprenne tout de suite la structure et le contenu de votre rapport.
Il est important de bien numéroter vos titres et d’indiquer la page où ils se trouvent. Il faut donc bien
paginer votre rapport, c’est-à-dire numéroter les pages.
Le plan peut comporter deux parties et quatre sous-parties, par exemple :
Introduction
· L’entreprise et son secteur d’activité
o Le secteur d’activité
o L’entreprise
· Mon stage dans l’entreprise
o Mes missions
o Le bilan
Conclusion
Y a-t-il autre chose à noter avant de rédiger mon texte ?
Oui: Les remerciements! Adressez-les à l’ensemble du personnel de l’entreprise et, en particulier, à
votre maître de stage et à une ou deux autres personnes qui ont joué un rôle important dans votre
stage.
Citez alors le nom et le poste de chacune de ces personnes.
De quoi dois-je parler dans mon rapport ?
Au début du rapport, c’est l’introduction. Vous expliquez d’abord pourquoi vous avez choisi ce stage et
comment vous l’avez obtenu. Puis vous présentez rapidement l’entreprise et les missions de votre
stage.
Ensuite, vous décrivez l’entreprise et son secteur d’activité, puis vous parlez de votre expérience au
sein de cette entreprise.
Vous décrivez votre stage. D’abord vos missions, les tâches effectuées, les horaires, les personnes
avec qui vous avez travaillé, les impressions que vous avez ressenties. Et enfin le bilan que vous tirez
de cette expérience.
Vous devez accorder plus de place à cette dernière partie. N’hésitez pas à en discuter avec votre
maître de stage. Il vous donnera son avis sur votre travail et répondra aux questions que vous vous
posez encore.
A la fin du rapport, c’est la conclusion. Vous résumez votre bilan avant de vous interroger sur la suite.
Vous parlez de l’avenir de l’entreprise et des perspectives que vous a ouvertes ce stage pour la suite
de vos études et votre futur métier.
Et si j’ai cité des ouvrages précis dans mon rapport ?
Vous pouvez consacrer ici une page pour les citer. C’est la bibliographie, là où vous notez les
références complètes (titre / auteur / éditeur / année de parution) des ouvrages que vous avez
éventuellement cités.
Et si j’ai des documents et des photos pour illustrer mon rapport de stage ?
Joignez-les à la fin de votre rapport de stage. Ce sont les annexes et elles seront annoncées dans le sommaire du rapport, comme les parties précédentes. Elles complètent et illustrent ce que vous avez écrit.
En annexe, vous pouvez mettre des graphiques, des schémas, une plaquette de présentation de l’entreprise, des documents comptables, des photographies…Mais n'en mettez pas trop! Et donnez un
titre à chaque document : « L’organigramme de la Société Machin »…
Si je rencontre encore des difficultés pour rédiger mon rapport ? Si j’ai la moindre question ?
N’hésitez pas à vous adresser à vos professeurs ou à votre tuteur de stage. Ils sont là pour
répondre à vos questions.

EN RESUME :
• Commencer son rapport de stage… pendant le stage
• Conserver les coordonnées des pros rencontrés dans l’entreprise
• Ne pas hésiter à recontacter son tuteur de stage après le stage

Etude du Bilan

I- Le bilan comptable fonctionnel :
Le bilan permet de visualiser à un moment donné l’état des emplois et des ressources de l’entreprise, c'est-à-dire ce qu’elle détient et ce qu’elle doit.

Il se présente comme suit :
                                                  Actif                             Passif
                                           Actif immobilisé         Financement permanent
                                           Actif circulant             Passif circulant
                                           Trésorerie active         Trésorerie passive

II- Le fond de roulement fonctionnel (F.R.F) :


1- Définition :

Montant des ressources qui, après financement de l’actif immobilisé, demeure disponible pour
couvrir les besoins de financement du cycle d’exploitation de l’entreprise au besoin de financement global.

2- Méthode de calcul :
a- Par le haut du bilan :
Fond de roulement fonctionnel = Financement Permanent – Actif immobilisé.
                                                      F.R.F = FP - AI.

Pour apprécier les modalités de financement de l’actif immobilisé.

b- Par le bas du bilan :
Fond de roulement fonctionnel = Actif circulant (et la trésorerie) – Passif circulant (et la trésorerie).
Pour apprécier l’équilibre financier ou la solvabilité de l’entreprise.

III- Besoin de financement global (B.F.G) :

B.F.G = Actif circulant hors trésorerie – Passif circulant hors trésorerie.

IV- Trésorerie nette :
Trésorerie nette = Trésorerie active – trésorerie passive.
Ou : Trésorerie nette = Fond de roulement fonctionnel – Besoin de financement global.

V- Relation entre le fond de roulement fonctionnel, Trésorerie nette et le Besoin de financement global :

Fond de roulement fonctionnel - Besoin de financement global = Trésorerie nette.

Résumer de Systéme Fiscal Marocain 2014

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L’état des soldes de gestion (E.S.G)

L’état des soldes de gestion (E.S.G) :
La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la manière dont le résultat est obtenu.
On distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelé :

L’état des soldes de gestion (E.S.G)
Il est composé de deux tableaux :
+ Le tableau de formation de résultat (T.F.R)
+ Le tableau de calcul de l’auto financement (A.F) après le calcul de la capacité d’auto financement. (C.A.F).


Le tableau de formation de résultat
1) La marge brute (M.B) :
MB = Ventes de marchandises – Achats revendu de marchandises.

2) La production de l’exercice (P.E) :
PE = Ventes de biens et services produits + Variation des stocks de produits + Immobilisations produits par l’entreprise pour elle-même .

3) Consommation de l’exercice : (C.E)
CE = Achats consommés de matiéres et fournitures +Autres charge Externes.

4) La valeur ajoutée : (V.A)
VA = Marge brute +Production de l’exercice – Consommation de l’exercice.

5) Excédent brut d’exploitation (E.B.E) ou insuffisances brute
d’
exploitation(I.B.E) E.B.E ou I.B.E = Valeur ajoutée + subventions d’exploitation – impôts et taxe –charges de personnel

6) Résultat d’exploitation : (R.E) (+ ou -)
RE = EBE + autres produits d’exploitation – Autres charges d’exploitation + reprise d’exploitation – Dotation d’exploitation

7) Résultat courant. (R.C) (+ ou -)
RC = RE ± Résultat financier.

La gestion de trésorerie Partie 3


LE BUDGET DE TRÉSORERIE
Le budget de trésorerie est un tableau prévisionnel des recettes et des dépenses de trésorerie, qui présente les soldes des périodes sur la durée de la prévision. Son objectif est de prévoir, au cours de l'année à venir, le niveau de trésorerie et les variations mensuelles.

La fonction de trésorier
La fonction de trésorier est relativement récente, même dans les entreprises d'une certaine dimension. Elle a pour objet de traiter des décaissements et de encaissements, c'est à dire tous les flux financiers et leur articulation avec l'encaisse et avec les comptes bancaires.


Le processus budgétaire
Les prévisions sont faites à partir des données fournies par les différents services e l'entreprise. Ces prévisions de trésorerie ne sont pas établies uniquement par le
service financier. Les prévisions propres à chaque service sont regroupées et consolidées.

Le solde de trésorerie
Le solde de trésorerie est déterminé à partir des encaissements et des décaissements prévisionnels. Les encaissements et les décaissements sont la
traduction en terme de flux des éléments de l'exploitation.

Le budget des ventes
C'est le budget le plus important. Il est la base à partir de laquelle on procède à toutes les prévisions. Le budget des ventes permet d'établir le programme de production, donc de prévoir tous les facteurs de production nécessaires. La prévision des ventes prend en considérations plusieurs éléments importants.

Le budget des charges de personnel
Ce budget prend en considération les salaires nets reçus par les employés de l'entreprise. Dans un souci de clarté, les charges sociales peuvent être calculés
isolement.

Les autres charges
Les charges dont les échéances sont connues d'avance sont intégrés dans le budget à leur mois de réalisation. Les autres charges, occasionnelles, ou dont la
date d'engagement est incertaine font l'objet d'une répartition suivant le principe d'abonnement des charges.

Le budget de TVA
Le budget de TVA est à déterminer car il a un impact sur la trésorerie immédiate de l'entreprise. L'objet de ce budget est de est de calculer la TVA à payer au fisc.
TVA à payer = TVA facturée - TVA récupérable

La gestion de trésorerie Partie 2


Négociation avec la banque
La libéralisation des taux a ouvert la voie à la négociation avec la banque. L’entreprise connaît l’enjeu financier qui en déroule. Le domaine de la négociation est large, le financier peut négocier les taux, le jour de valeur, voire
supprimer certaines commissions. Mais, la négociation doit être ciblée et adonnée selon des priorités pour être efficace. Pour négocier avec le banquier il est utile de construire un dossier de négociation avec des tableaux des conditions actuelles classées par banques ; des mouvements détaillés par banque.

LE MARCHE DES TITRES NÉGOCIABLES
En 1995 un marché secondaire des titres fût crée : celui des titres de créances négociables. Les entreprises y ont la possibilité d'emprunter ou de placer des capitaux indépendamment des banques.
Les titres de créance négociables introduisent plus de souplesse dans le marché monétaire puisqu'ils permettent aux opérateurs économiques un meilleur arbitrage entre les produits en fonction de leurs durées. En plus des bons du trésor négociables, la loi 35-94 a prévu :
- les certificats de dépôts,
- les bons des sociétés de financement
- les billets de trésorerie

caractéristiques générales TCN
Les titres de créance négociables sont émis sous forme de billets ou bon à échéance fixe, matérialisés par des titres ou inscrits en compte. Sans être cotés en bourse, ils confèrent à leur porteur un droit de créances librement négociables. La loi n° 35-94 a rendu obligatoire leur dématérialisation et leur inscription en
compte auprès d'un établissement de crédit. Ces titres sont également obligatoirement anonymes, ils sont libellés au porteur afin de faciliter leur transmissibilité. Leur montant minimum est de 250 000dh quelque soit le titre.

les bons du trésor négociables
Les bons du trésor ont des durées différentes : 6 mois, un an, deux ans, et cinq ans. Leur taux d'intérêt est progressif et payables à l'échéance, ils sont offerts aux
épargnants et cotés en bourse.

les certificats de dépôt négociables
Ces titres sont créés par la loi 35-94 du 26 janvier 1995, ce sont es titres de créance négociables, d'une durée déterminée, émis au gré de l'émetteur en représentation d'un droit de créance qui porte intérêt.

les billets de trésorerie
La création de billets de trésorerie remonte à 1986 avec comme objectif de contribuer à décloisonner le marché monétaire et donner plus de souplesse au financement inter entreprises. La mobilisation de l'épargne déjà constituée sur le marché optimiserait au mieux l'utilisation des diponibilités et soulagerait la
pression sur les crédits.

LES MARCHES PRIMAIRE ET SECONDAIRE
le marché primaire : C'est le marché ou les titres sont crées et émis. Ce marché a connu un développement considérable depuis les réformes successives
que les titres ont connu.

le marché secondaire
: il s'agit du marché des titres déjà crées sur le marché primaire.
La technique anglo-saxonne de titrisation est utilisée aux Etats unis depuis 1970

La gestion de trésorerie Partie 1


La gestion de trésorerie
consiste à faire l’équilibrage continu entre sécurité et rentabilité. Le trésorier a le souci de solvabilité de l’entreprise c’est à dire la
préoccupation d’honorer ses échéances au moindre coût.
Une comptabilité de la trésorerie à jour doit permettre d’avoir une connaissance quotidienne du niveau d’encaisse. La préoccupation de la gestion de trésorerie au
jour le jour est d’optimiser le coût global du financement à court terme et d'assurer un rendement optimal des placements.
Le financier est confronté quotidiennement aux décisions relatives au choix du moyen de paiement (chèque, virement, effet ...) et du mode de financement
(escompte découvert, placement découvert..) à l’affectation des fonds à telle ou telle banque. Les contraintes sont nombreuses, coût de financement, conditions bancaires différentes, rémunération des placements, gestion des risques (taux d’intérêt, change, liquidité).
Le but ultime est de répondre à ces contraintes en maintenant un niveau d’encaisse le plus proche possible du ″niveau zéro″, procéder à la coordination entre les différents comptes de la société pour limiter leur déséquilibre et négocier les meilleures conditions bancaires (taux, commissions, calcul des dates de valeur)

Le principe des dates de valeur
L’enregistrement Comptable se fait à la date historique de l’opération, alors que l’enregistrement bancaire se fait à la date de réalisation de l’opération. D’où un
décalage qui joue au profit de la banque qu’on appelle date de valeur.
Les opérations de remise de valeur ou de versement d’espèces sont enregistrées postérieurement ; les opérations de retrait ou de paiement sont enregistrées
antérieurement au jour de l’opération.
Le décalage entre la date historique et la date effective de réalisation de l’opération est souvent dû au délai d’échange interbancaire des valeurs. Celles-ci doivent transiter par la Chambre de Compensation de Bank Al Maghrib qui est chargée des échanges.
Une date de valeur dépend :
de la nature du jour qui peut être ouvrable c’est à dire jour d’ouverture du guichet, ouvré, ce sont des jours ouvrables moins les congés propres à la profession bancaire et jours calendaires correspondant aux jours du calendrier.

Les conditions bancaires
Les valeurs (chèques, effets et virements ...) s’échangent entre des partenaires situés tous les deux dans la même ville ou dans des villes (ou zones) différentes.
Le Maroc est divisé en zones par Bank al maghrib qui relèvent en principe d’une agence de la Banque Centrale. Exemple la zone (Casablanca, Mohammédia,
Berrechid,) relève de la compétence de la succursale de Bank al maghrib Casablanca.
Les échanges de valeurs à l’intérieur de la même zone son dits des opérations sur place.
Les échanges effectués entres des agents situés dans deux zones différentes sont dits hors place.

Les conditions standard
En nombre de jours de valeurs (cf tableau : dates des valeurs appliquées ..) . Les conditions de jours de valeur sont fixées par Bank Al Maghrib, c’est une
réglementation cadre qui peut faire l’objet de négociation.

Les commissions
Ces commissions ne sont pas toutes lisibles sur un relevé, il faut demander le détail des commissions e des frais appliqués. La commission de dépassement est de 2% sur la somme des dépassements de la période.

Echelle d’intérêt
C’est un tableau des écritures mensuelles des opérations par date de valeur. Il fait apparaître :
Les mouvements du compte : au débit ou au crédit Les soldes journalier liés aux mouvements du compte Le nombre de jours que le solde est resté inchangé
Le nombre débiteur (créditeurs) produit du nombre de jour par le solde.
Coût du découvert est le total (cf. exemples)